« Grands interprètes » : « Louis de Beyre, baryton à la voix d´or »
Ouest France (23 Juillet 1987).
« Yannick Kerjose et Louis de Beyre, tous les deux au plus haut niveau, ont fait l´unanimité du public ».
Ute Marty, 14 septembre 1988 (Festival de Camaret, Août 1988).
« Une superbe voix ... les superlatifs ne sont pas de trop ».
Sinclair (Musique et Tradition , Janvier- Avril 1988 , salle Cortot).
« Un vétitable régal. Mille merci à vous Louis de Beyre ».
Philipp Luke, directeur du Bloomsburry arts festival
( Récitai à Londres, Novembre 1988).
« Sens des nuances, vaillance et puissance, poésie raffinée, éclectisme. Une soirée mémorable ».
Jacques Darras, Ouest France (Festival de Locronan,16 Juillet 1988).
« Sa voix est belle ».
Yves Bastide, l´Echo Républicain (Semaines musicales de Chartres,
4 Juillet 1988).
« Le public envoûté », « Louis de Beyre a su prouver que le public peut s´enthousiasmer pour la voix humaine », « Un temps fort du festival ».
Festival de Tréguier, Le télégramme, Ouest France (22 Août 1988).
« Le timbre sombre de sa voix évoque la basse russe Chaliapine, ce qui n´est pas peu dire ».
La Presse de la Manche (9 Août 1989).
« Je vous ai entendu avec beaucoup de plaisir; je vous félicite de tout coeur ».
Georges Cziffra (15 Décembre 1987, Fondation Cziffra).
« Il gagne son public par la belle chaleur humaine qui se dégage de lui, par son talent, par la vérité de toutes ses interprétations ».
Yvonne Desportes, Grand Prix de Rome.
« Il est habité par une sorte de magie et possède au plus haut point l´art d´entrer dans les personnages qu´il incarne ; il possède ce « plus », don inestimable qu´aucun travail ne peut procurer ; nous n´avons pas fini d´entendre parler de cet artiste ».
Yette Mussat, Visages du 20ème siècle (1990).
« Une science vocale parfaite ».
Ouest France (Festival de Bayeux, 12 Août 1991).
« Ce diable d´homme n´a pas fini de nous surprendre ! ».
Yette Mussat, Visages du 20ème siècle (1996).
« Magnifique concert ; il excelle par son interprétation enthousiaste et raffinée », « Il a le don de piaire et de faire rêver ».
N. Turtach et E. Radacineanu,Genève (Janvier 1989)l.
« De Pergolèse à Puccini , il est à l´aise dans tous les rôles. Comment fait-il ? II y a de l´acteur dans ce chanteur-là ».
Michèle Auclair ( Festival de Saint Julien, Paris 1997).